lundi 17 juillet 2023

17.07.2023

 Le monde vivait à présent de la guerre en Ukraine, après l'invasion russe de celle ci, les pays de l'ouest pour imposer un blocus économique à la Russie, et les conséquences économiques notamment l'inflation des matières premières se propageait  un peu partout. Il fallait souligner l'émergence des satanistes dans le monde occidentale, le festivale de Rio de Janeiro par exemple ou les défilés de la marque de haute couture Balenciaga, affichaient ouvertement leurs allégeance à Satan et aux ténèbres pour le plus grand plaisir des spéctateurs...tel était le système capitaliste moderne, un système qui annihilait l'inhibition et le chaos de la civilisation par le satanisme et la délinquance. L'Algérie prenait en apparence le parti de la Russie, mais ce n'était que pure propagande car les tenants du système ont depuis les années 90' pactisés avec Israël, la France et les puissances occidentales pour vaincre la révolution islamique, et acquérir des armes plus sophistiqués. Du point de vue sociale, j'étais abasourdi ces jours ci, par les festivités des Algériens pour les bambins ayants obtenues leurs BAC! non seulement les épreuves avaient étais passés dans le Black Out ie l'internet coupé des flics à tous les coins de rue comme si le Fidaoussi était au bout de l'épreuve, mais le comble était les festivités post obtention du BAC: feux d'artifice, motos qui s'usaient les pneu sur le parvis, des troubadours...le grotesque et la barbarie n'ont pas de limites pour ce peuple. Si la majorité de ses moutons de panurge qu'étais les nouveaux bacheliers finira surement fonctionnaire dans une administration publique, le reste ira probablement à l'étranger fuir le pays pour enrichir de leurs savoir les occidentaux. En vérité, le système avait réussi un coup de génie en stigmatisant cette frange de la population ie de Bachelier à futur diplômé, en les isolants du reste de la population dans leurs petits nuages, non seulement il évitait toute transmission intellectuelle inter générationnelle pour éviter un Tien an Men, même durant le Hirak ce fut le cas et il y avait une sorte de complexe de supériorité chez ces petits ânes qui se croyaient des savants alors qu'ils étais pour la plupart à des années lumières de la raison,  Le système crucifiait également par le ressentiment les catégories inférieurs de la population et la racaille qui ne pouvaient pas se payer d'études supérieurs à eux mêmes ou  à leurs progénitures. Les maquignons et les grossistes alimentaires faisaient éclater les feux d'artifice comme à leur premier milliard, et le petit peuple dormait sali sous le silence et les défilés de sirènes.

vendredi 5 août 2022

06.08.2022

 Les prémices d'une troisième guerre moniale pointaient du nez; après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le monde vivait sous la menace d'une guerre nucléaire, au sommet, car bien qu'opposés sur le front Ukrainien les USA et la Russie restaient alliés dans plusieurs domaines, à savoir, l'aérospatial, la finance..etc. Bien entendu il y avait des répercussions sur l'Algérie et les autres pays tiers-mondistes, la crise avec le Maroc -pro Israélien à present- voisin s'amplifiait, les marchés ayant subis de plein fouet la coût de la guerre le prix des matières premières s'envolait plongeant les USA aux bords de la récession. Et une bi polarité économique entre les USA et la Russie et la Chine devenait envisageable avec l'émergence des cryptomonnaies, portant ainsi un coup dur à la suprématie du Dollar Américain, pire encore, les accord de Brentwood tombait à l'eau du fait que la Russie , la Chine et tout le bloc de l'est rendaient leurs monnaies échangeables contre de l'Or, la Suprématie du Dollar Américain -qui monopolisait les marchés mondiaux- touchait à sa fin, avec ou sans bitcoin-régulé à présent par la FED- les BRICS faisaient volte face...  Comme à l'accoutumé les choses ici allaient de pire en pire, à présent TEBBOUNE, le président de la junte, après avoir délivré l'allocation chômage était devenu aux yeux de certain le Messie attendu'3ami TEBBOUNE' li fahem yefham, son fils contrôlait à présent le marché de la cocaïne dans l'ouest du pays, le fils de Chengriha le marché de l'alcool, virtuose du trompe l'œil, il avait même placé "Nacer el Gen", un ancien criminel de la décennie rouge patron des services secrets, s'en suivirent la décorations du Général Toufik, et de Khaled Nezzar, pour les bons et loyaux services qu'ils avaient rendus aux pays...on vivait dans la quatrième dimension, un bal des maudits de la créations.

La logique des armes dominait la raison, la tyrannie l'emportait, tout ça sous la les applaudissements de la foule aux aguets de la moindre miette ou de la moindre parcelle...en effet, la psyché collective manquait cruellement de droiture, des misérables prêts à vendre père et mère pour un gallon de lait; la lueur brillait dans les yeux des opportunistes et des apparatchiks du système, qui-sachant que le Hirak avait de sombres jours devant lui- bondissaient de toute part pour avoir leur part du gâteau, le système les avait créer, des corsaires prêts à toutes les bassesses, à tous les crimes crapuleux pour une ascension au sommet; Pendant ce temps les détenus d'opinions-pour la plupart- en grève de la fin, croupissaient en prison, le pays se vidait de sa témérité et de son courage avec la Harga qui prenait l'allure d'une hémorragie, ainsi que son élite, à savoir le corps médical les technocrates et autres; la racaille crevait en mer, et l'élite voltigeait vers le nord, pour n'être, finalement, que des mestèques aux service des capitalistes qui profitaient ainsi d'une main œuvre 'repéché' pour bâtir leurs capitales. 

Le système fondé sur le populisme s'asphyxié car le conditionnement imposé à tous les niveaux empêchait un quelconque réformisme, et le pays s'engouffrait, indolent, dans le chaos et la perdition..Le système, pour ne pas changer de recette, étendait l'aliénation dans les rangs des corps constitués, en l'occurrence l'armée, où les champs de propagandes à la gloire des martyrs de la révolution à l'encontre du colon 'français', se trouvaient tétanisés par le déroulement du tapis rouge au président Macron, qui, il y avait quelques mois avait traitait le peuple Algérien de peuple bâtard avant l'Algérie Française, -créant ainsi une brouille diplomatique- mais la flexibilité et l'amnésie sélective du président TEBBOUNE, n'avaient d'égale que les lourds dossiers qui pesaient contre lui au ministère de l'habitat, faisant de lui, une marionnette aux mains de la junte militaire prêt à tout pour ne pas rejoindre ses congénères à la prison d'el Harrach...Loin de moi l'idée qu'il n'y avait pas d'esprits capables de réformer ce système, mais l'énergie et la vitalités étais les privilèges des tyrans, et le paradoxe résidait dans le fait, que l'aristocratie bourgeoise était perverse et corrompue et l'aristocratie militaire demeurait aux ordres des puissants; quant à la plèbe, c'était des misérables incapables d'élever leurs pensées, les exécutants des deux classes n'étais pas très différents car issus de la même merde; le système se maintenait en créant des nœuds d'inégalités dans la société, comme des dealers ou autres scélérats qui fleurissaient, sous la protection des forces de l'ordre corrompus et intouchables, qui prenaient leurs pourcentage derrière chaque dealer pour arrondir leurs fins de mois. Une destruction des valeurs morales et sociétales  poussant le commun des citoyens à la résilience devant un système corrompue, et tyrannique. Il y avait une perte de valeurs humaines, commune à tous les systèmes fascistes, au profit de l'état mafieux; qui provoquait un repli sur soir et une profonde dépression, dans l'incapacité de composer avec des canailles qui faisaient de la pestilence et satanisme et ce qui découle les principales valeurs du pays.


  

mardi 25 janvier 2022

25.01.2022

 Le monde n'en avait pas fini avec la pandémie du covid 19, et un n-ième variant, le o-micron, prenait le relais de cette spirale infernale, de nouveau des restrictions d'urgences étaient imposés un peu partout dans le monde pour parer à ce fléau, qui semblait-il touchait plus griévement les personnes non vaccinés. En effet, le plus étrange dans cette maladie était l'émergence de groupes de personnes qui refusaient coûte que coûte à se faire vacciner, et à s'ériger en collectifs pour ce faire; 'les antivax', si le phénomène était plus métiatisé en europe, en Algérie comme aillleurs la paranoïa et la superstition prenaient le dessus sur la raison...le confinement avait poussé les gens dans leurs retranchements, voir au-delà de leurs remparts de forclusion, et les théories les plus abracadabrantes sur les complots fleurissaient... il n'en demeurait pas moins qu'aucun scientifique ne pouvait nier la nature virale du covid 19, et par corrolaire un traitement anti virale, mais le mystère restait entier, bien qu'il y ait des similarités avec d'autres maladies comme la malaria ou l'ébola. 

En Algérie la situation était catastrophique, les hopitaux étaient saturés, les morts se comptaient par centaines, l'oxygéne -indispensable aux services de réanimation- manquait à l'appel, pire, les unités de production avaient reçu l'ordre de ne pas en distribuer aux centres hospitaliers civiles, et l'armé avait été déployé pour empécher quiconque d'y accéder, pour les mettre à disposition des centres hospitaliers militaires.

Le nouveau chef d'état major, nouvelle homme fort du pays, Saïd Chengriha, était un personnage qui sortait d'un film de science fiction, en quelques mois il avait fait plus de tort à l'Algérie que l'ensemble de ses prédescesseurs réunis: trafic de drogue, d'armes, de carburant, fermeture de l'espace aérien avec la France, coupure des rélations diplomatiques avec le Maroc, et j'en passe; Les récentes déclarations de l'ancien bras droit d'AGS, Garmit Bounouira, qui avait été extradé de Turquie puis condamné à la peine capitale pour haute trahison-des enregistrements qui avaient fuités de l'intérieur de la prison militaire de Blida vers la toile- ont provoqué un véritable séisme dans l'institution militaire, où tous les chefs d'inculpations que je viens de citer plus haut étais présents, plus l'assassinat d'AGS, et l'inculpation arbitraire de bon nombre de généraux appartenant au clan du défunt pour privilgier les gradés de sa région, à savoir, l'est du pays, les chaouias; mais l'armée algérienne était divisée en deux catégorieux, ceux qui pointaient -plus ou mois intégres- qui faisaint de leurs mieux pour faire leur devoir avec abnégation en atendant de trouver un job au noir après la retraire, et les opportunistes ceux qui voulaient se tailler la part du lion pour compenser toutes les basesses par lesqu'elles ils sont passès ,indélibiles, qui en faisaient des monstres prêts à tout... Il avait dit on une femme dans l'oranie qui pratiquait la magie noire, la chaaouada, nul doute qu'il devait être possédés par tous les démons de l'enfer pour accumuler tant d'actes ignobles... en effet, la pauvereté, le manque d'instruction, la misère..etc..formait un terreau propice à l'émergence de la sorcellerie dans l'ouest du pays, ailleurs aussi, des corps d'enfants mutilés avaient étais retrouvés avec des marques, servant à des sacrifices dans des rituels sataniques, la psyché collective convergeait vers la consultation des marabouts et autres charlatans sorties d'un autre siécle, Teboune en personnes, disait-on, consultait fréquement un taleb pour régler ses conflits,et éloigner le mauvais oeil. Dans un autre contexte; le milieu de la nuit servait de passerelle au satanisme, les cabarets dans des chants subliminaux, l'alcool, la drogue et la saleté aidant, faisaient l'éloge d'ibliss et des ténébres و اللّه المستعان 

Le système politique en Algérie devenait de plus en plus infernal, le train déviait de sa tragectoire: des pénuries de produits de première nécéssité huile, lait, sucre, eau, semoule..etc; la casse de l'état sociale et l'emprisonnement systématique des Hirakistes, des journalistes, ainsi que des reponsables de partis politiques, jusqu'à la dissolution des partis politiques comme le PST, ou les associations comme le RAJ. Le régime voulait controler la population par le bas, en anéantissant systématiquement toute verticalité politique ou morale, il rendait factis tout état de droit, au profit de l'appareil sécuritaire et de la mafia. L'ouest du pays reflétait le plus cette hécatombe totalitaire corrompue; tout avait un prix, une corruption omniprésente omnisciente systématique et généralisé du simple fonctionnaire au magistrat, l'inculpation récente d'un certain Sofiane Guenfouda -passé de gardien de parking à milliardaire- donnait un bel exemlpe du fonctionnement de cette pyramide satanique où se déversait tout l'argent sale du pays chez des portes flingues pour batir des empires financiers comme ce fut le cas pour Kamel Boucher il y a quelques annèes, derrière eux -évidemment- les généraux de la junte militaire...d'autres noms comme Derdakh ou Madjajo qui batissaient des fortunes colossales à la Al Capone dans le trafic d'alcool 'légale' en ayants des agréments étatiques où personne ne pouvait en avoir, la prohibition des annees 1930 légalisé au vu et au su de tout le monde, les généraux de l'armée et de la gendarmerie s'associaient aux barons de la drogue et de la prostitution, sous l'oeil bienveillant des hauts reponsables du pays et des servicess secrets, impliqués mais intouchables, et l'hypocrisie du peuple qui votait FIS en masse dans les annèes 90. 

La jeunesse était massivement intoxiqué par le hashish marocain, l'alcool et les psychotrops, c'était 'normal', le contraire était à la limite suspect, dans une absence de verticalité et d'un état de droit, prétendre que tout allait bien était; soit de la lacheté, soit de l'opportunisme servile, pour vous dire à quel point le pays était 'hypnotisé' par l'ennemie orwellien de l'algérie: le maroc...il n'y avait d'autre objectif -ni d'autre ennemi-que l'aliénation du peuple par les généraux, une sorte de corée du nord à leurs petite échelle de petits dépravés aux âmes nostalgiques de la colonisation, des grandes gueules aux bras écourtés dont se déléctaient les puissances arabes de leur ineptie, et leur absurdité existentielle.

 Deux états existaient donc en Algérie: celui de l'état major qui pompaient les ressources du pays -presque exsangue- sous couvert de la menace extérieur, en pétro dollars; et celui du petit peuple; paupérisé, affamé, humilié, avec un Dinars Algérien équivalent au Pesos Méxicain qui ne pouvait que s'en remettre à Dieu comme seul garant de ses droits légitimes, ou fuir le pays; mais ce peuple -dans sa majorité- était coupable d'avoir été compatissant envers cette main invisible et paternaliste, que sont les services secrets, qui s'étaient imposé par la terreure et en recyclant la volontée populaire et populiste qui aspirait à un avenir meilleur après le départ du collon, à leur profit; le pire étant cette mandicité andémique chez ce peuple bâtard -corollaire de la précédente proposition- qui était du pain béni pour ces assassins en uniforme, et un parachute dorée; car tant que le peuple mandiait pour ceci ou cela et rempait pour aquérir ces droits, leurs intérets étaient protégés, et ils demeuraient maîtres à bord.

 L'anniversaire du hirak approchait, il n'y aavit d'autre mot dans mon esprit que la consternation, une consternation dantesque devant un peuple maudit qui dépassait l'entendement de la médiocrité et de la crépitude, des abominations humaines sur pays si beau, presque sublime, no comment.

samedi 28 août 2021

28.11.2021

 Après une courte trêve de la pandémie, une nouvelle vague ressurgissait mettant à nue la situation catastrophique des hôpitaux algériens, et le manque cruel de moyens pour combattre ce fléau, notamment l'oxygène et les respirateurs artificiels et donnait place à des scènes chaotique pour s'approprier une bouteille oxygène; les morts se comptaient par dizaines tous les jours, et psychose reprenait. La situation politique n'était pas plus reluisante: une économie à l'arrêt, le couvre-feu était de nouveau imposé, des pénuries d'eau, de semoule, de liquidité dans les postes, un chaos quasi totale. Des feux s'étaient également déclarés dans plusieurs régions, notamment en kabylie, le gouvernement privilégiait la thèse criminelle, notamment les mouvements dissidents MAK et RACHAD, ces derniers ripostaient en accusant le gouvernement. Et c'est à ce moment que le pire arriva, un jeune homme du nom de Djamel Ben Ismail fut lynché, puis brulé, puis décapité dans la commune de Larbaa Nath Itharaten alors qu'il venait porter secours pour éteindre les feux, l'onde de choc fut ressenti à travers tout le pays, car filmé de bout en bout par les riverains, qui ont même pris des selfies devant la victime en densant et en chantant "imazighen, les arabes les animaux" car le Djamel en question était un Arabe de la région de Miliana...on retiendra l'éxtrème cruauté et le racisme viscerale de cette frange de la population, qui plus est devant le siège de la sureté de Daïra, sous la passivité des policiers en exercice. Pas une balle tiré, par un coup de matraque, la scène était surréaliste. Le lendemain des suspects avait étais arrêtés, et le chef de la police avait donné une conférence de presse, dans laquelle il expliquait, ou plutôt justifiait l'inaction des policiers, sous prétexte d'étre débordés par la foule, et que cela aurait engendré une émeute et que cela aurait fait le bonheur des parties étrangères qui s'en serait servis pour porter atteinte à l'unité nationale!une explication aussi burlesque que le passé de ces criminels en uniforme, qui jubilait de voir la kabylie à feu et à sang; et les kabyles pour de bon décrédibilisé aux yeux de l'opinion publique -craignant une nouvelle vague de Hirak. Des théories aussi abracadabrantes fusaient de part et d'autres, mais la barbarie des faits dépassait l'entendement et l'instinct prenait le dessus sur la  raison. Certains pointait du doigt les services secrets pour leurs implication mais aucune preuve tangible n'avait été avancé, certes le régime satanique et mafieux était le premier bénéficiaire de cette situation, voulant à tout prix enterré vivant le Hirak et protéger leurs progénitures et leurs intérêts, les généraux criminels enfonçaient le clou de la tyrannie, en ramenant d'Espagne le gendarme qui avait fui les rangs et dénonçait dans des vidéos ce qui se passait dans les coulisses de la hiérarchie militaire et dans les cors de sécurité en générale, Mohammed Abd Allah a été livré à ses bourreaux par les espagnoles, sachant pertinemment qu'il risquait la torture et la mort dans son pays lui qui avait demandé l'asile politique. Les relations diplomatiques avec le Maroc avait également étais coupés, et même la propagande officielle, contre la main étrangère, n'arrivait pas à faire taire la vague d'indignation que cela engendré chez la population, impuissante devant l'aveuglement et la fuite en avant de re régime génocidaire qui -on aurait cru- possédais par tous les Démons de l'enfer. La vie devenait donc de plus en plus difficile, le citoyen étant réduit à sa plus simple expression, un zombie végétatif écartelé par la mort, et la tyrannie.

samedi 2 janvier 2021

02.01.2021

Un vaccin voir plusieurs avait été découvert pour cette maladie de merde, et la concurence faisait déja rage entre les différents groupes pharamaceutiques, mais comme je l'ai souligné plus tôt, cette pandémie cervait les gouvernements déliquescents, l'ordre massonique, et les riches. Les mouvements sociaux étants réduits au silence et à l'absurdité les puissants s'en donnaient à coeur joie des scénes surréalistes avaient lieux ou on voyaient les représentants des forces de l'ordre passer par dessus Dieu et ses êtres, si je peux me permettre, une aliénation sauvage face à la paralaisie des masses. Je pensais à  ce 'poulet' qui tombe comme une fleure en plein mois d'aout dans une chaine monstrueuse dans un bureau de poste, et déchire la foule alors qu'une pauvre Dame suffoquante me mourrait presque dans les bras, tiraillé par l'épuisement, la chaleur et la saleté des hommes. Ce pays, si beau, ne méritait pas un peuple aussi sale, aussi incivique, la terre pleurait des larmes de sang intérieur sous les détritus des vandales qui pavoisait par dessus, inconcevable était de faire entendre raison à  ces hordes barbares paradoxalement drapait de vertus mais d'un incivisme extrême, tel était la société algérienne, un culte de l'apparence et une saleté intérieur infernal...un fou faisait l'éloge de la femme algérienne à la poste, ce samedi, alors que la veille j'entendais par la bouche d'un ancien harrag revenu d'europe les péripécies des Mme Dalila dans son quartier, qui avaient obtenues des appartements et des affaires par la dépravation et le vice absolue, s'il fallait rajouter un maux à ce pays à part l'état mafieux, il fallait rajouter ces harpis sortis des ténébres, héritières vicieuses maternel et de la hideur de la fécondité, la femme algérienne était un malédiction divine, la colère de Dieu envers ce peuple se reflétait dans leurs traits, qui vous donnait plus envie de crever que de jouir de la vie; "élève un homme tu en fais un roi, élève une femme tu en fais une nation" à l'heure actuel, je n'entendais que l'échos des putes algériennes qui ont colonisé l'arabie de Tanger à Doha en passant par les autres capitales arabes... fut un temps ou on dénigrait les tunisiennes pour leurs moeurs légères mais j'eus l'occasion de constater qu'il était bien pire en algérie. Il ne faut pas se leurrer, l'algérie était une lutte sans merci, entre äge, entre genre, et entre race bien entendu, les chaouis dans la hierachie militaire, les jijelliens dans la police, les kabyles dans l'administration et l'enseignement; pour le citoyen lamba arbo-musulman, ces trois râces bâtardes que je viens de citer, sont le plus grand danger auquel il devra faire face car ils feront tout ce qui est possible et imaginable pour le détruire et sauveguarder leur emprise et l'état fédérale auquels ils aspirent, une véritable gangrène au  coeur de l'état, vicerallement et profondément dissidentes et subversives; les gouvernements étrangers tiraient donc les ficelles de ces groupuscules car ils échapaient totalement au socle arabo-musulman en se revendiquant juifs, maltais, ou scélérats-la région des chaouias était à la base un refuge pour truands et renégats qui tentaient d'échapper à l'empire Ottomans connus pour être une région montagneuse difficile d'accès, en effet ça vous déchire le coeur que de voir les monarchies du Golf en pleine ascention et en contraste un état crépiteux corrompu, sans espoir de relève par des élites démagogues, pédéraste, et islamistes: une inéptie absolue au regard des enjeux qui se jouaient sur l'échiquier mondiale.Louisa Hannoune, Saïd Bouteflika, le générale Toufik, et le générale Tartag avaient été aquitès après quelques mois d'emprisonnement à la prison de blida, le trophée du Hirak s'était volatilisé en plein jour, si pour la première c'était sans importance qu'elle crêve en prison, ou dandine du cul dans les marchès, les autres auquel le commun des mortels s'attendait à un procès à la Milozevitch pour le nombre astronomiques de morts, disparus, torturès et j'en passe, avec preuve à l'appui et  des témoignages de hauts responsables, relâchès sans condamanation, ne pouvait avoir qu'un seule réponse, les enquéteurs qui étais chargés de l'affaire se sont confrontès à la loi du silence de tous ceux qui auraient pu les incriminer à savoir les services secrets et les hauts reponsables de l'armée,7lib le9laoui, pourquoi ne l'ont ils pas fait?ce que ne vous diront les prostituèes de la plume que sont les journalistes algériens, Il fallait lire les chroniques du colonel Mohammed Samraoui pour comprendre l'engrenage inférnal qui régnait dans le DRS ou toutes les mains qui pouvaient bouger la table étais systématiquement et méthodiquement tachès de sang par ceux qui étais aujourd'hui sur le banc des accusès, tout le monde mangeait la même pomme empoisoné, chaque maillon devenait corropus et corrupteur au nom du sauvetage de l'état contre l'islamisme politique , mythe avant-gardiste inventé par le clan de Oujda et de la mafia politico-financière pour parrer au réformateurs du système, et cela se reproduisait crescendo à toutes les autres sphères de l'état:gendarmerie, police, gardes champètres, fonctionnaires..etc. En ces temps de covid 19, le contraste était flagrant, on pouvait constater à quel point ceux qui avaient échapès au lâcher de lest due au Hirak se déléctaient aujourd'hui d'être toujours en place, peu importait qu'il y ait ou non de la corruption ou de l'abus de pouvoir, tant que l'ennemi restait le citoyen, et eux, aussi médiocres et asservis puissent ils êtres rester au dessus. Pas un dépot ouvert depuis mars, ce gouvernement qui interdisait les prières à l'intérieur des casernes au temps de la décennie rouge, se drappe aujourd'hui d'islamisme, sous le regard complaisant de ce peuple tous mouftis ici bas, et bissexuels en europe, voyez la lâcheté intellectuel de ceux qui prétendent défendre la liberté et les droits de l'Homme. Une jeunesse dégénéré aux cervelles brulés par les androïds et les ondes éléctromagnétiques remplaçait peu à peu le tissu sociale déchicté par l'ére Bouteflika, un autre système financier émergeait avec les cryptommonnaies et ce qu'elles impliquaient comme fractures pour le nouvel ordre mondiale, en somme un monde nouveau.

mercredi 14 octobre 2020

14.10.2020

 Après une courte trève de la pandemie du covid 19, une deuxième vague plus dévastatrice se  profilait à l'horizon, ce virus que l'on disait chisois était à mon avis Massonique ou Américain, en effet les contestations populaires grandissantes qui avaient eu lieu en 2019 s'étaient brutalement tu, le monde de plus en plus injuste et inégalitaire craquait de toutes parts, l'incomensurable écart entre ceux qui vivaient tout en haut et ceux du bas défiait l'entendement. Cette pandémie avait donc permis au gouvernement qui était réduit à sa plus simple expression après le Hirak de se refaire une peau neuve, cela dit le malaise au sein des forces de l'ordre était profond à la limite de la schyzophrénie, des mois de mobilisation avait eu raison d'eux, en effet, comment se résoudre à protéger les tenants du système et leur progéniture et rester insensible à la détresse du peuple paupérisé qui se jetait en mer pour fuir la misère et la tyrannie, sans être un monstre. Certains policiers ont tentés de rejoindre la contestation populaire et ont étais sévérement punis. Mais le mal était encore plus profond, les milices qui terrorisaient la population durant la décennie rouge étaient toujours actives et la chappe de plomb pesait toujours sur les têtes, la grande défaite du peuple Algérien et dont souffriront les générations à venir, aura été cette complaisance envers cette  main invisible qui faisait le ménage dans le gouvernement et les cercles dirigeants, sans se soucier du comment un système aussi pourri pouvait engendré de la droiture et de l'équité. 

Le mystère avait toujours éxisté dans la société Algérienne, du temps des maquis contre le colon jusqu'à la décennie rouge des groupes semaient la Terreur et dictaient leurs loi aux villageois, certains pointaient du doigt le partis unique le FLN, d'autres affirmaient que c'était les services secrets la SM puis le DRS, mais personne ne pouvait réellement savoir, allez demander à un terroriste sa carte professionnel... cette pieuvre obscur régentait la réel activité politique du pays depuis les annèes 95, avec la complaisance des services de sécurité, qui avaient également du sang sur les mains, et profitaient de la situation étant massivement rejetés par la population. 

La Terreure changeait de forme, les bombes et les massacres se transformainet en d'autres formes tout aussi déroutantes de terreur. Pour comprendre la saleté et la corruption systémique et généralisé du pays il fallait relire des auteurs comme Rachid Mimouni qui peint le tableu sombre de la société Algérienne d'entre les annèes 70 et 90, pour rappel sa tombe a été profané par les terroristes, et ses os épapillès...la souveraineté populaire était relégué au rang le plus bas de la hierarchie après les terroristes, les généraux, et autres forces de sécurité assujetie à l'etat. L'opinion publique passait donc en dernier lieu, il y a avait un dialogue de sourds entre le regime et la population, la presse et les médias dissidents étaient traqués et jettès en prison, certes il y avaient des allégences et des alliances étrangéres dans ses rangs comme au temps de la presse Allemande d'avant la deuxième guerre mondiale que le systeme utlisait comme tremplin pour évoquer la menace éxterieur. L'etât et ses mécanismes corrompus et arbitraires reprenaient donc du terrain dans cette période de pandémie, et le marche ou crève aussi, le travail en Algérie était assimilé dans le dialecte à la prostitution, depuis la décennie rouge du moins; 'chouakers' s'appropriaient la gente féminine contre leur protection, leurs hommes de mains aussi, et cela se répercuté dans le milieu du travail, le procès de Madame Maya et ses filles avait fait couler beaucoup d'encre et démontrer l'étendu de la prostitution dans les hautes sphères de l"état, ces 'wonder womans' déclassaient les hommes, et le travail en générale, 'accepte tout' ouvrait toutes les portes, et il n'était pas étonants de voir passer par l'arrière boutique la femme ou la soeurette de quelqu'un contre un poste à reponsabilités. l'homosexualité était généralisé, les jeux sexuels pour enfants, entre garçons allaient parfois jusqu'à l'adolescence et même après le mariage, ces 'tabous' généraient ce déclassement de l'homme par rapport à la femme et son humiliation quasi permanente.La société Algérienne était un cet étiage quasi permanent de diables humains sursatant et grouillants qui dévoraient tout sur leur passage.

lundi 25 mai 2020

25.05.2020

Des mois avaient passés depuis le 22 février, AGS était mort, Said Bouteflika et le général Toufik étaient en prison,  ainsi que Sellal et Ouyahia et un bon nombre d'anciens ministres et hauts fonctionnaires de l'état, dans un lâcher de lest médiatique devenu routinier; un dialogue nationale avait eu lieu, un nouveau président avait été élu Abdelmadjid Tebboune, après des élections passés comme un char d'assaut sur la population, et la répression avait repris de plus belle. Feu AGS avait réussi un coup de force en divisant la population, en stigmatisant les kabyles et les porteurs de drapeau amazigh et en faisant planer, comme souvent ce fut le cas dans ses prêches, le spectre du complot étranger. Les marcheurs du Hirak, et les activistes étais traqués de toutes parts. Un simple commentaire sur les réseaux sociaux pouvait entrainer des mois voir des années de prison. Le pouvoir militaro-mafieux avait de beaux jours devant lui. Craignant un scénario à la Tunisienne, et la prise d'el Mouradia par le peuple, une répression aveugle et sauvage s'abattait sur les activistes et les protestataires.
Le monde était à présent frappés par la pandémie du covid 19 des centaines de milliers de morts à travers le monde, 3 milliards de personnes étais confinés sur les cinq continents; la protestation qui ce démultipliait durant les semaines qui précédaient le confinement, s'estompait petit à petit, seuls les réseaux sociaux s'enflammaient de temps à autres, et quelques rassemblements de soutien aux détenus d'opinions avaient lieu; Deux camps s'opposaient à présent, les militaro-conservateurs qui avaient soutenu les élections imposés par les militaires et par corollaire la dictature militaire, et ceux qui prônaient un état civile et non militaire, une nouvelle république, et un système démocratique avec plus de justice sociale; la répression ne faiblissait pas, les auteurs de posts dérangeants étaient traqués jusqu'à leurs domiciles, et écopaient le plus souvent de lourdes peines de prison. La prison en Algérie détruit l'individu, un enfermement quasi permanant dans des salles qui dépassaient les 70 détenus, des conditions sanitaires déplorables, et la loi de la mafia avec la complaisance des autorités. Les défenseurs de libertés étaient donc confrontés au côté obscur de ce système, une criminalité organique assujettie à l'état, qui régnait dans un monde souterrain, l'autre face du pouvoir; la majorité des délits étaient absurdes cependant: somnifères, vols à l'étalage, possession de cannabis, mais s'accompagnaient paradoxalement de lourdes sentences; ceux qui n’étais pas faits pour servir le système, étais voués à une vie marginale, la prison devenait par conséquent une convalescence ou un mal nécessaire à une vie de rebel, un conditionnement et une destruction systématique de l'individu par l'usure et le repli sur soi; les détenus d'opinions étaient donc abasourdis par le chaos et l'arbitraire et étaient poussées vers la dépression, la résiliation, ou le suicide.
Dehors l'état policier reprenait comme au temps de la décennie rouge, les forces de l'ordre représentaient -comme jadis le PCO- le pouvoir absolue, fanfaronnant dans leurs gros véhicules, en racketant les commerçants formels et informels, en offrant leur protection aux femmes qui possédaient des commerces contre leurs faveurs, le cas échéant en lâchant leurs indics pour les intimider, ils faisaient la pluie et le beaux temps, blindés par la justice corrompue aux ordres, et l'administration déliquescente dont ils étais les serbers dévoués, le diable en uniforme. Non seulement ils avaient permis ou pouvoir militaro-mafieux de continuer à piller les ressources du pays, mais ils tuaient tout espoir de relève pour les générations à venir.
Le pays était donc paralysé par la pandémie, tous les commerces étais fermés, les transports étais coupés, et le couvre-feu était imposé, sans concertation d'aucune sorte, le président gouvernait par ordonnance, quiconque bravait ces interdiction était mis en garde à vue et devait s'acquitter d'une amande et/ou faire un séjour en prison. Les établissements de santé public étant dantesques, l'Algérie comme la plupart des pays du tiers monde n'était pas préparé à affronter la pandémie...L’économie mondiale était à l’arrêt, le baril de brent avait atteint un prix négatif, pour un pays dont l’économie dépend à plus de 92% des hydrocarbures le ciel nous tombait sur la tête, la richesse-malédiction de ce pays qui avait fait couler tant de sang ne valait plus rien, redynamiser l’économie était utopique… les âmes s'envolaient, les cerveaux et les riches fuyaient, les bras ramaient, et les parrains mortifères suçaient toute vie.

vendredi 17 mai 2019

10.05.2019

Cinquième jour de jeûne, il fait chaud, on transpire, on a soif, envie de fumer une clope et prendre un café. Bref, le mois sacré est de retour, puisse Dieu gratifier les croyants pour leur endurance et leur ténacité. Le prêche du Vendredi terminé, sous un soleil de plomb, je me dirige vers la Grande Poste en passant par Hassiba, tâtant par cette occasion le 12 ême acte de la révolté populaire. Moins de monde que les fois précédentes, c'est logique, avec cette chaleur et le jeûne surtout, il fallait vraiment avoir la niac pour y assister; depuis le 11 ême acte le 'trio infernal' était tombé à savoir Saïd Bouteflika, le général Toufik, et le général Tartag...le parrain et les deux bourreaux de la décennie rouge, jugées au tribunal militaire de Blida, avec retransmission sur l'ENTV, rien que ça, incarcéré pour complots contre l'état et l'institution militaire de manière très expéditive, l'herbe était coupé sous la foule de protestataires qui réclamaient la tête de 'Saïd', la justice de la junte militaire avait fait du bon travail; pour ce qui est des millions de disparus, volés, et spoliés de leurs biens, ça attendra. A présent le foule réclamait Gaïd Salah, c'est logique, il était le pilier de Bouteflika dans la hiérarchie militaire et était connu pour être un personnage corrompu et tyrannique. Le hic est que ce 'coup d'état', qui prétendait être au service du peuple et non au service des généraux en faisait son hémisphère et son instigateur. Les généraux en Algérie détenaient la quasi totalité des richesses et des leviers de pouvoirs, depuis la décennie rouge -par leur mafia politco-financière, leurs usines, et surtout par le GIA. Le citoyen lambda était semblable à un plancton, écrasé par le système du matin au soir, pourchassé par les cercles mafieux et leurs racaille, harcelé par le FLN et ses milices, hanté par les services secrets et leurs démons -les agents de l'ex DRS étaient friands de mercure rouge, ils se l'arrachaient chez les dealers au prix fort, pour des rituels sataniques, je suppose. son seul exutoire -au citoyen- était ces marches du Vendredi, mais hélas, il n'y avait aucune structure ou presque, les banderoles qui auraient pu faire place aux tractes et à l'engagement physique des marcheurs, comme ce fut le cas dans les années 90 avec le FIS -qui ont pu arracheré les mairies et le scrutin à la junte de par leur unité n'a pas été fait, une situation étrange, mais compréhensible après dix ans d'interdiction de rue par le régime, le subjectif régnait, amplifié par les réseaux sociaux, chacun était son propre héros, rejetant le plus souvent l'autre, et pire que tout les radicalités existentiels qui essayaient d'émerger du tas. Le pays était donc vendu en pâture; Emiratis par ci, Européens ou Américains par là, masse confuse semblable aux philippins, aux amer-indiens ou au antillées français. L'importation avait repris, les barrons de l'import-export s'engraissaient à n'en plus pouvoir dans ce paradis fiscal qu'est l'Algérie pour eux, l'enfer pour les autres.

24.04.2019

Pas d'hystérie collective ni de scène de pillage incendiaire depuis le 22 février, certes des têtes étaient tombés -et pas des moindres. Le quotidien restait le même, un stoïcisme automobile atomique, le brou ara de la rue et ses marchands, le bruit des moteurs, la poussière, la saleté, la grossièreté..EL KIYADA dans leurs voitures blindés un motard en tête déchiraient cette musique de temps à autre.
La société Algéroise est la technique Heideggerienne poussé à son paroxysme les classes s'auto-explose entre elles: les barbus et les pouffiasses, la racaille et les bourgeois.. le peuple et l'administration. Un étiage satanique qui poussait certains à la maison , d'autres à la dépression, pire encore.
Boutef était tombé d'autres noms l'ont suivi Haddad, Belaiz, Zoukh, Rebrab, Kouninef..des gens que le commun des Algérois prenait pour des Dieux de par leur statut, leurs fortune et surtout par le limogeage du général Toufik, le DRS avec lui,  faisant ainsi croire que le clan présidentiel avait supplanté les tout puissant services secrets, ses courtisans avec lui. Mais on voit bien aujourd'hui que c'est faux, que c'est l'armée qui a toujours tenu les rênes du pouvoir, et ce coup d’état de Gaid Salah, est là pour le prouver.
Le plus tragique dans tout ça, c'est qu'il n'y a pas d'élite pour prendre le relais, les intellectuels d'avant la décennie rouge sont morts assassinés ou angoissés; les islamistes n'ont pu gagner les soutiens extérieurs qui leurs auraient permis de faire contre poids à la propagande officiel et ont été corrompus; la fuite des cerveaux, le saroukh, et les jeans taille basse ont ruiné l'actuel génération. On assiste à une tribalisation de la société, les gens sont devenus leurs comptes facebook, leurs émission télé préférés, leurs codes linguistiques ou vestimentaires..d'où la difficulté de voir émerger une classe dirigeante ou révolutionnaire. Les gens se soucient bien moins de leurs congénères, que de leurs propres petites personnes et les gratifications virtuels qu'ils dévorent sans cesse. Je pense à ce jeune Ramzi Yetto mort sous les matraque des policiers à Tafourah la marche du 12/04/2019 qui n'avait pas fait couler beaucoup d'encre dans la presse qui l'ont vite classé comme fait divers, ni même et surtout dans les réseaux sociaux ou chacun veut devenir populaire en étant comique, en se foutant des autres.