vendredi 5 août 2022

06.08.2022

 Les prémices d'une troisième guerre moniale pointaient du nez; après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le monde vivait sous la menace d'une guerre nucléaire, au sommet, car bien qu'opposés sur le front Ukrainien les USA et la Russie restaient alliés dans plusieurs domaines, à savoir, l'aérospatial, la finance..etc. Bien entendu il y avait des répercussions sur l'Algérie et les autres pays tiers-mondistes, la crise avec le Maroc -pro Israélien à present- voisin s'amplifiait, les marchés ayant subis de plein fouet la coût de la guerre le prix des matières premières s'envolait plongeant les USA aux bords de la récession. Et une bi polarité économique entre les USA et la Russie et la Chine devenait envisageable avec l'émergence des cryptomonnaies, portant ainsi un coup dur à la suprématie du Dollar Américain, pire encore, les accord de Brentwood tombait à l'eau du fait que la Russie , la Chine et tout le bloc de l'est rendaient leurs monnaies échangeables contre de l'Or, la Suprématie du Dollar Américain -qui monopolisait les marchés mondiaux- touchait à sa fin, avec ou sans bitcoin-régulé à présent par la FED- les BRICS faisaient volte face...  Comme à l'accoutumé les choses ici allaient de pire en pire, à présent TEBBOUNE, le président de la junte, après avoir délivré l'allocation chômage était devenu aux yeux de certain le Messie attendu'3ami TEBBOUNE' li fahem yefham, son fils contrôlait à présent le marché de la cocaïne dans l'ouest du pays, le fils de Chengriha le marché de l'alcool, virtuose du trompe l'œil, il avait même placé "Nacer el Gen", un ancien criminel de la décennie rouge patron des services secrets, s'en suivirent la décorations du Général Toufik, et de Khaled Nezzar, pour les bons et loyaux services qu'ils avaient rendus aux pays...on vivait dans la quatrième dimension, un bal des maudits de la créations.

La logique des armes dominait la raison, la tyrannie l'emportait, tout ça sous la les applaudissements de la foule aux aguets de la moindre miette ou de la moindre parcelle...en effet, la psyché collective manquait cruellement de droiture, des misérables prêts à vendre père et mère pour un gallon de lait; la lueur brillait dans les yeux des opportunistes et des apparatchiks du système, qui-sachant que le Hirak avait de sombres jours devant lui- bondissaient de toute part pour avoir leur part du gâteau, le système les avait créer, des corsaires prêts à toutes les bassesses, à tous les crimes crapuleux pour une ascension au sommet; Pendant ce temps les détenus d'opinions-pour la plupart- en grève de la fin, croupissaient en prison, le pays se vidait de sa témérité et de son courage avec la Harga qui prenait l'allure d'une hémorragie, ainsi que son élite, à savoir le corps médical les technocrates et autres; la racaille crevait en mer, et l'élite voltigeait vers le nord, pour n'être, finalement, que des mestèques aux service des capitalistes qui profitaient ainsi d'une main œuvre 'repéché' pour bâtir leurs capitales. 

Le système fondé sur le populisme s'asphyxié car le conditionnement imposé à tous les niveaux empêchait un quelconque réformisme, et le pays s'engouffrait, indolent, dans le chaos et la perdition..Le système, pour ne pas changer de recette, étendait l'aliénation dans les rangs des corps constitués, en l'occurrence l'armée, où les champs de propagandes à la gloire des martyrs de la révolution à l'encontre du colon 'français', se trouvaient tétanisés par le déroulement du tapis rouge au président Macron, qui, il y avait quelques mois avait traitait le peuple Algérien de peuple bâtard avant l'Algérie Française, -créant ainsi une brouille diplomatique- mais la flexibilité et l'amnésie sélective du président TEBBOUNE, n'avaient d'égale que les lourds dossiers qui pesaient contre lui au ministère de l'habitat, faisant de lui, une marionnette aux mains de la junte militaire prêt à tout pour ne pas rejoindre ses congénères à la prison d'el Harrach...Loin de moi l'idée qu'il n'y avait pas d'esprits capables de réformer ce système, mais l'énergie et la vitalités étais les privilèges des tyrans, et le paradoxe résidait dans le fait, que l'aristocratie bourgeoise était perverse et corrompue et l'aristocratie militaire demeurait aux ordres des puissants; quant à la plèbe, c'était des misérables incapables d'élever leurs pensées, les exécutants des deux classes n'étais pas très différents car issus de la même merde; le système se maintenait en créant des nœuds d'inégalités dans la société, comme des dealers ou autres scélérats qui fleurissaient, sous la protection des forces de l'ordre corrompus et intouchables, qui prenaient leurs pourcentage derrière chaque dealer pour arrondir leurs fins de mois. Une destruction des valeurs morales et sociétales  poussant le commun des citoyens à la résilience devant un système corrompue, et tyrannique. Il y avait une perte de valeurs humaines, commune à tous les systèmes fascistes, au profit de l'état mafieux; qui provoquait un repli sur soir et une profonde dépression, dans l'incapacité de composer avec des canailles qui faisaient de la pestilence et satanisme et ce qui découle les principales valeurs du pays.


  

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