mercredi 14 octobre 2020

14.10.2020

 Après une courte trève de la pandemie du covid 19, une deuxième vague plus dévastatrice se  profilait à l'horizon, ce virus que l'on disait chisois était à mon avis Massonique ou Américain, en effet les contestations populaires grandissantes qui avaient eu lieu en 2019 s'étaient brutalement tu, le monde de plus en plus injuste et inégalitaire craquait de toutes parts, l'incomensurable écart entre ceux qui vivaient tout en haut et ceux du bas défiait l'entendement. Cette pandémie avait donc permis au gouvernement qui était réduit à sa plus simple expression après le Hirak de se refaire une peau neuve, cela dit le malaise au sein des forces de l'ordre était profond à la limite de la schyzophrénie, des mois de mobilisation avait eu raison d'eux, en effet, comment se résoudre à protéger les tenants du système et leur progéniture et rester insensible à la détresse du peuple paupérisé qui se jetait en mer pour fuir la misère et la tyrannie, sans être un monstre. Certains policiers ont tentés de rejoindre la contestation populaire et ont étais sévérement punis. Mais le mal était encore plus profond, les milices qui terrorisaient la population durant la décennie rouge étaient toujours actives et la chappe de plomb pesait toujours sur les têtes, la grande défaite du peuple Algérien et dont souffriront les générations à venir, aura été cette complaisance envers cette  main invisible qui faisait le ménage dans le gouvernement et les cercles dirigeants, sans se soucier du comment un système aussi pourri pouvait engendré de la droiture et de l'équité. 

Le mystère avait toujours éxisté dans la société Algérienne, du temps des maquis contre le colon jusqu'à la décennie rouge des groupes semaient la Terreur et dictaient leurs loi aux villageois, certains pointaient du doigt le partis unique le FLN, d'autres affirmaient que c'était les services secrets la SM puis le DRS, mais personne ne pouvait réellement savoir, allez demander à un terroriste sa carte professionnel... cette pieuvre obscur régentait la réel activité politique du pays depuis les annèes 95, avec la complaisance des services de sécurité, qui avaient également du sang sur les mains, et profitaient de la situation étant massivement rejetés par la population. 

La Terreure changeait de forme, les bombes et les massacres se transformainet en d'autres formes tout aussi déroutantes de terreur. Pour comprendre la saleté et la corruption systémique et généralisé du pays il fallait relire des auteurs comme Rachid Mimouni qui peint le tableu sombre de la société Algérienne d'entre les annèes 70 et 90, pour rappel sa tombe a été profané par les terroristes, et ses os épapillès...la souveraineté populaire était relégué au rang le plus bas de la hierarchie après les terroristes, les généraux, et autres forces de sécurité assujetie à l'etat. L'opinion publique passait donc en dernier lieu, il y a avait un dialogue de sourds entre le regime et la population, la presse et les médias dissidents étaient traqués et jettès en prison, certes il y avaient des allégences et des alliances étrangéres dans ses rangs comme au temps de la presse Allemande d'avant la deuxième guerre mondiale que le systeme utlisait comme tremplin pour évoquer la menace éxterieur. L'etât et ses mécanismes corrompus et arbitraires reprenaient donc du terrain dans cette période de pandémie, et le marche ou crève aussi, le travail en Algérie était assimilé dans le dialecte à la prostitution, depuis la décennie rouge du moins; 'chouakers' s'appropriaient la gente féminine contre leur protection, leurs hommes de mains aussi, et cela se répercuté dans le milieu du travail, le procès de Madame Maya et ses filles avait fait couler beaucoup d'encre et démontrer l'étendu de la prostitution dans les hautes sphères de l"état, ces 'wonder womans' déclassaient les hommes, et le travail en générale, 'accepte tout' ouvrait toutes les portes, et il n'était pas étonants de voir passer par l'arrière boutique la femme ou la soeurette de quelqu'un contre un poste à reponsabilités. l'homosexualité était généralisé, les jeux sexuels pour enfants, entre garçons allaient parfois jusqu'à l'adolescence et même après le mariage, ces 'tabous' généraient ce déclassement de l'homme par rapport à la femme et son humiliation quasi permanente.La société Algérienne était un cet étiage quasi permanent de diables humains sursatant et grouillants qui dévoraient tout sur leur passage.

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